Voici Marcel : Marcel, c'est mon pote. Enfin... mon pote... Disons qu'il souffre que je m'approche à 4 m de lui sans courir ventre à terre en criant à l'agression. On se croise quand même quasiment deux fois par jour. Il rapporte ses noissettes, je rapporte mes courses. Il vit sa vie dans l'arbre à côté de ma salle à manger, je corrige mes copies en faisant semblant de ne pas le voir (je suis au premier étage). Bref. Je l'aime bien, Marcel. Il se pourrait même, que s'il est sage, je lui donne quelques grains pour subsister jusqu'à la saison nouvelle. Juste comme ça. Parce que c'est lui. C'est vous dire si on est potes !
